Evenement de la Semaine




            Evenement du mois de Janvier 2013

LE SERVICE YEZU MWIZA A PASSE A L’ACTION



Au mois de Janvier 2013, alors que les élèves des écoles secondaires rentrent fraîchement des vacances de Noël, certains responsables des établissements scolaires  ont invité le Service Yezu Mwiza  pour un appui éventuel dans les activités de prévention du VIH/SIDA auprès de leurs élèves. Les écoles qui ont été touchées par ces activités en Province de Bujumbura sont le Collège communal de Rukaramu et le  collège privé de Gatumba respectivement le mercredi 23/01/2013 et le jeudi 24/01/2013. En Mairie de Bujumbura, ces activités ont touché le Lycée municipal de Ruziba le lundi 28/01/2013. Après les séances de sensibilisation de masse tenues par les assistants IEC de SYM, après avoir répondu aux diverses questions liées à la prise en charge des personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA, un nombre considérable d’élèves a réclamé à l’immédiat le dépistage volontaire du VIH/SIDA. Sans tarder, le SYM a passé à l’action. Il a  dépêché ses psychologues pour faciliter le conseil pré et post test. Il faut noter que la remise des résultats s’est fait le même jour. Dans l’ensemble, 844 élèves dont 470 garçons et 374 filles se sont fait dépister et un seul cas s’est révélé  positif. Voyons quelques photos de l’activité !
                                                                                                                                                                                   





















Sensibilisation de masse dirigées par les assistants IEC de SYM












































Prélèvement pour le dépistage volontaire du VIH
  


































Analyse des échantillons




















Prélèvement pour le dépistage volontaire du VIH






















L'alignement des élèves pour le dépistage volontaire du VIH


















Les jeunes des environnants ont voulu rejoindre les élèves pour le dépistage volontaire du VIH




















EVENEMENT DE LA SEMAINE DU 11 AU 15 FEVRIER 2013

Ce jeudi 14 Février 2013, le personnel de Service Yezu Mwiza fait d’assistant IEC, de psychologue, de médiateur de santé et d’infirmier a effectué une descente sur terrain, plus exactement à Kiriri en commune KANYOSHA pour ses activités habituelles de prise en charge globale des personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA. Le rendez-vous était grandement attendu. 48 bénéficiaires dont 33 femmes et 15 hommes ont participé dans cette réunion d’encadrement visant à soutenir la personne en la dotant des connaissances et des compétences qui renforcent son adhésion, l’autonomisation dans ses soins propres et le renforcement de ses capacités d’auto support. Les psychologues et les médiateurs de santé ont développé le thème sur: «LOBSERVANCE AU TRAITEMENT».
Tout a commencé par l’introduction d’une courte prière dirigée par l’une des bénéficiaires participant à la séance. Avant d’aborder le sujet du jour, une psychologue de SYM a fait un petit rappel de ce qui a été vu le mois passé. Par la suite, elle a énoncé le thème du jour : il s’agissait d’expliquer la différence  entre la charge virale (C.V) et les CD4. Les bénéficiaires ont su que l’observance est le principal facteur explicatif du succès ou de l’échec thérapeutique qui lui permettra de comprendre sa maladie et d’améliorer sa qualité de vie. Plus le patient est plus observant, plus il gardera le plus longtemps possible sa première combinaison et il développera moins la résistance au traitement.
Pour ce qui est de l’examen des CD4, la psychologue a rappelé que la personne sous bactrim doit faire faire l’examen des CD4 chaque fois que de besoin. Lorsque les CD4 sont inférieur ou égal  à 350, celle-ci va commencer directement le traitement ARV. Lorsque le patient est sous ARV, il doit faire les examens virologiques après 6 mois de traitement pour vérifier la charge virale (la quantité de virus qui se trouve dans le sang). Cependant, après trois mois de traitement, on doit faire le bilan pour vérifier si le traitement a été efficace ou si le patient ne court pas aux effets néfastes dûs au traitement en cours. L’équilibre entre les CD4 et la charge virale a été comparé à une balance. Plus les CD4 montent, plus la charge virale diminue et inversement. Les bénéficiaires ont posé plusieurs questions qui ont toutes trouvé de réponses satisfaisantes. A la fin de la séance, la psychologue a invité ceux qui ne l’ont pas fait ou qui l’auraient fait il y’ longtemps de faire faire les examens des CD4 et de la charge virale pour une bonne observance au traitement ARV. La rencontre a été clôturée par la distribution du bactrim dont l’importance d’en prendre aux heures régulières a été grandement soulignée. Avant la prière de clôture, les participants se sont convenus sur la date de la prochaine rencontre, ce sera au même endroit, le 14 Mars 2013 à 8h30 du matin. Je vous laisse contempler certaines photos de cette activité.
L'arrivée du Personnel sur terrain


























Après la prière, bref rappel de ce qu'on a vu dernièrement



















La psychologue de SYM développe le thème du jour



















L'écoute dans la salle est très profonde




















La médiatrice de santé complète la réponse de la psychologue


















Quelques bénéficiaires posent des questions de compréhension




















Les questions des AGR sont répondues par la personne appropriée



















LES AGR AU SYM : VOIE DE SORTIE POUR LUTTER CONTRE LA PAUVRETE DES BENEFICIAIRES


Dans la matinée du Jeudi  21 Février 2013, l’agent  de SYM chargée des AGR en compagnie avec quelques bénéficiaires a effectué une visite de supervision des activités associatives que font les bénéficiaires de Buhonga. Il s’agit d’une culture de manioc qu’ils pratiquent sur un terrain de location. Après avoir escaladé les hautes montagnes, Mme Consolate arrive en fin dans un champ de manioc qui est bien entretenu : Toutes les mauvaises herbes ont été enlevées très récemment. A la fin du tour de tout le champ, Madame Consolate a entretenu une conversation avec Mr Evariste, représentant des bénéficiaires de Buhonga. Dans ses dires, monsieur Evariste exprime sa joie en remerciant le SYM pour l’attention qu’il ne cesse de manifester aux besoins de ses bénéficiaires. D’après lui, une partie de la récolte de manioc sera partagée entre les propriétaires; une autre partie va renforcer la caisse de solidarité qui est souvent sollicitée par les membres en cas de circonstance heureuse ou malheureuse qui arrive à l’un des membres de l’association. Avant de conclure la visite, Mme Consolate a félicité le travail déjà réalisé en commun, elle leur a suggéré  d’aller toujours de l’avant tout en leur promettant de bien défendre  le rapport de cette activité collective belle à la Direction de SYM. 

















Visite de supervision d'une AGR collective,derrière une raide montagne

























Trois bénéficiaires présents lors de la supervision


































Commentaires d'un représentant des bénéficiaires







































Le Représentant des bénéficiaires donne quelques précisions









































Mme Consolate clôture la visite par des conseils d'encouragement























ATELIER DE PLAIDOIRIE ORGANISE PAR LES PERES JESUITES A BUJUMBURA

Au début du mois de Mars 2013, Bujumbura, la capitale du Burundi a accueilli les Jésuites Directeurs responsables des projets de lutte contre le sida en Afrique et  au Madagascar. Les pays qui ont participé dans cet atelier étaient notamment : le Togo, le Tchad, le Nigéria, l’Afrique du Sud, le Zimbabwe, la Zambie, le Kenya, la RDC, le Madagascar, l’île Malte, le DRC  et le Burundi. 
Le but de cet atelier était de  lancer une plaidoirie sous la pédagogie Ignacienne en faveur des personnes que nous servons dont les  PVVIH et les OEVs  pour un accès facile aux soins et aux services sociaux. Les participants ont eu l’occasion de faire le tour dans la clinique de SYM en vue de connaître davantage le fonctionnement de ce dernier. Au terme de cet atelier, le Directeur d’AJAN, Père Paterne Mombé, SJ. a trouvé un moment de rencontrer le personnel de Service Yezu Mwiza où il a tenu à lui remercier pour le travail déjà fait.
Dans son discours de félicitation et d’encouragement, le père Paterne a admiré le mécanisme des médiateurs de santé mis en place au SYM, il a apprécié tout ce qu’on fait pour aider les personnes à sortir de la dépendance. Il a félicité cette nouvelle manière d’accompagner les bénéficiaires à travers les AGR collectives : c’est un signe d’espérance a-t-il précisé. Dans son discours, il a poursuivi en demandant au personnel de SYM de faire connaître aux partenaires ce que nous faisons en envoyant au moins un article par mois sur le site web d’AJAN. 
Il a souhaité que l’on organise de temps à autre des activités qui touchent un très grand nombre à titre d’exemples la sensibilisation de masse, le dépistage mobile chez les élèves, les services de PTME qui vont au-delà de nos bénéficiaires. Il a clôturé son intervention en promettant au personnel de SYM de renforcer leurs capacités en les invitant aux ateliers des différentes formations qui seront organisés à Naïrobi, siège d’AJAN.

Père Désiré,S.j présente les activités de SYM aux visiteurs
 



















Les visiteurs font la visite de la clinic guidée par Père Désiré,S.j




































Les visiteurs devant la clinic


















Visite du Laboratoire


















Prise de photos après la visite


















A la sortie de la visite du Laboratoire


















Des échanges après la visite



































Les visiteurs font la descente sur terrain



















Réunion des bénéficiaires avec les visiteurs


















Danse des bénéficiaires : signe de joie



















Le personnel de SYM réunis autour de Père Mombe Paterne,S.j






















LES ACTIVITES GENERATRICES DE REVENUS COLLECTIVES  RELEVENT LEUR NIVEAU DE VIE 

Au Service Yezu Mwiza, le Programme AGR permet de relancer l’économie dans les villages touchés par la dernière crise, augmenter le pouvoir d’achat des plus vulnérables et favoriser la réinsertion économique des populations déplacées, récemment retournées dans leurs collines. Au mois d’Avril 2013, le Personnel de SYM a organisé une descente sur terrain pour le suivi et évaluation de quelques unes des activités réalisées par ses bénéficiaires de GITAZA ; c’est une localité de la Commune MUHUTA en Province de Bujumbura Rural, à 28 kilomètres de Bujumbura, tout près du Lac Tanganyika. 26 bénéficiaires suivis par le SYM  font la mise en œuvre de deux principales activités génératrices de revenus collectives à savoir : une petite usine locale pour la fabrication du savon de lessive et le séchage et la commercialisation du petit poisson communément appelé «le ndagala».

Pour l’usine de fabrication des savons, il y’a un besoin de renouveler le capital de roulement étant donné que le matériel est encore en bon état avec la disponibilité d’un local comme point de vente des produits. Pour la pêche, monsieur MATESO s’est associé aux pêcheurs qui passent la nuit au lac et qui sèchent le poisson pêché avant de le vendre le jour suivant au prix concurrentiel.


Matériel pour l'usine de fabrication des savons


















Les bénéficiaires expliquent les besoins actuels



















Au  marché de GITAZA se trouve le magasin où se fait la vente du savon produit


















Les pêcheurs rentrent de la pêche de nuit


















Mr MATESO explique le déroulement de son activité



















D'après MATESO, une journée suffit pour sécher le poisson qui est mis au marché le jour suivant
























UNE SEANCE D’EDUCATION NUTRITIONNELLE ANIMEE  AU SYM

Les personnes infectées par le VIH/SIDA et qui en même temps sont mal nourries tombent souvent malades et ont un taux de survie très faible par rapport à celui  d’autres personnes séropositives bien nourries. Pour ce faire, le Service Yezu Mwiza porte toute son attention à ce groupe de personnes en leur prodiguant des conseils à travers l’éducation nutritionnelle,  en prenant tous les trois mois leur IMC (Indice Masse Corporelle)  et en donnant des vivres aux bénéficiaires qui tombent dans la malnutrition sévère.
 
Prise de l'indice de masse corporelle

















En ce mois de Mars, la personne en charge du soutien nutritionnel au SYM a développé dans une réunion avec les bénéficiaires de Mutumba et de Kabezi, un thème sur « Une bonne nutrition aide le corps à tolérer tout effet secondaire des médicaments ». Elle a donné l’exemple des aliments énergétiques, riches en sucre et en huile : du manioc, de la pomme de terre, banane verte, riz, etc … Les aliments de construction sont riches en protéines animales ou végétales, entre autres exemples : de la viande, fromage, poisson, lait, haricots, petits pois, arachides, etc ….

En pleine séance d'éducation nutritionnelle


















Les aliments protecteurs sont ceux qui sont riches en vitamines et en sels minéraux, spécialement des légumes et des fruits : Lengalenga, carotte, tomate, papaye, orange, citron, ananas, mangues, eau. Cette séance d’éducation a été toujours précédée par la prise de l’indice de masse corporelle (IMC) qui l’aide plus tard à déterminer les personnes qui présentent une malnutrition sévère afin de les appuyer avec  les vivres du programme PAM. Après la leçon, madame Consolate en charge du soutien nutritionnel des bénéficiaires au  SYM a distribué le fiche des aliments aux participants qui ont posé beaucoup de questions auxquelles les réponses étaient bien précises et convaincantes. 

Fruits et légumes
























TOUS LES 8 MAI, LE BURUNDI CELEBRE LA JOURNEE NATIONALE DE LUTTE CONTRE LE SIDA

Le Gouvernement du Burundi a célébré ce 8 Mai 2013 la journée nationale de lutte contre le Sida (JNLS). Les cérémonies qui se sont déroulées au centre de santé (CDS) de Kamenge ont été rehaussées par  la présence de son Excellence La Ministre de la santé publique et de la lutte contre le sida accompagnée par Mme Dawn M. Liberi, Ambassadeur des Etats-Unis au Burundi. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’Onusida qui était venu se rendre compte de l’état des lieux des progrès faits par le Burundi en matière de lutte contre le VIH/SISA et voir dans quelle mesure l’ONUSIDA peut continuer à appuyer le Burundi dans ce domaine avait aussi participé dans ces cérémonies.


Une foule immense faite de la population provenant de toute les communes de la Mairie de Bujumbura avait répondu au rendez-vous. Les associations de prise en charge des personnes vivant avec le VIH Sida (Personnel et bénéficiaires) n’ont pas manqué au rendez-vous entre autre exemple « le Service Yezu Mwiza » de l’Association des Pères Jésuites du Burundi. Les numéros de chants et de danses, la poésie, les témoignages et les discours avaient été sélectionnés pour abonder dans le sens du thème de la journée : « Ensemble pour accélérer l’accès au traitement antirétroviral et les services de la PTME d’ici 2015.»


Toutes les communes de la Mairie avaient répondu au rendez-vous




















Dans son discours, le représentant des bénéficiaires a été reconnaissant envers le Gouvernement du burundais et ses partenaires et envers les structures de prise en charge qui ont adhéré aux initiatives internationales de lutte contre le sida. Avant de clôture son intervention, le représentant des bénéficiaires a émis quelques contraintes et a formulé aux décideurs de tous les niveaux (Gouvernement, les organisations de la société civile et partenaires financiers) quelques demandes :


-   Tenir la promesse

-   Veiller à ce que les PVVIH ne soient plus victimes des malentendus et incompréhensions entre les intervenants et les décideurs.

-  Qu’il y’ait une implication effective des PVVIH dans la définition du paquet de services, de l’approche de mise en œuvre des actions qui leur sont destinées.

-  Qu’il y’ait une prise en charge médicale et le suivi biologique gratuit.

- Que les PVVIH et mères sous PTME mal nourries puissent bénéficier d’un soutien nutritionnel.

-  Qu’il y’ait la disponibilité des ARV de 3ème ligne pour les patients résistants aux ARV de 2ème ligne.

 
Discours d'un Représentant des personnes vivant avec le VIH/SIDA


















    Dans son discours, Mme Dawn M. Liberi, Ambassadeur des Etats-Unis au Burundi, s’est réjouit des résultats déjà obtenus et a précisé qu’au cours de la dernière année le Plan d’urgence du président pour la lutte contre le VIH/Sida (PEPFAR) a atteint plus de 250.000 personnes dans les 152 Centres de santé repartis dans les 4 provinces (Kayanza, Muyinga, Kirundo et Karusi). Elle a rappelé que les Etats-Unis soutiendront les orphelins en leur donnant accès à l’éducation et aux soins de santé.  

     Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’Onusida, a allumé dans les cérémonies de cette journée une bougie en mémoire de toutes les victimes du Sida et a rappelé qu’il faut prendre des précautions pour se protéger et protéger les autres.


   Madame La Ministre de la Santé publique et de Lutte contre le Sida, Dr Sabine Ntakarutimana, a salué dans son discours le travail des différents partenaires (techniques et financiers). Elle a  rappelé que son ministère s’est attelé à l’élargissement de la couverture médicale à l’égard des bénéficiaires qui sont sous traitement antirétroviral : ils étaient 8.048 en 2006, repartis dans 16 centres de santé a-t-elle dit alors qu’en 2013, ils sont 29.500 personnes dans 248 centres de Santé. Le Burundi a pu faire des progrès remarquables et est à l’étape d’arriver sur l’étape de zéro décès pour les enfants qui naissent des mères séropositives. Bien plus, La Ministre a indiqué que les indicateurs vers l’élimination de ce fléau sont visibles, le témoignage éloquent étant l’augmentation des centres de dépistages et l’accès aux médicaments antirétroviraux (ARV). Les cérémonies qui ont débuté à 11h00 de la matinée ont pris fin vers 13h00 clôturées par une danse merveilleuse des tambourinaires. 


L'allocution de Michel Sidibé
 



















    Le lendemain, à l’Hôtel de la Source du Nil, les intervenants de la société civile en matière de lutte contre le sida se sont réunis autour de Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’Onusida, pour lui exprimé les remerciements quant aux efforts de l’ONUSIDA en faveur du Burundi. La Ministre de la Santé publique et de la lutte contre le Sida avait représenté le gouvernement du Burundi. Dans son discours, celui qui a représenté la société civile, Révérend Père Désiré YAMUREMYE,S.J a mis en lumière le rôle historique et la spécificité de la société civile dans la réponse au VIH. Afin que la société civile puisse participer activement à l’atteinte des 10 objectifs fixés par l’onusida pour 2015 et par conséquent atteindre les trois zéros, le Révérend Père Désiré a formulé aux partenaires techniques et financiers, au gouvernement du Burundi et à la société civile  des demandes suivantes:


-  Mobiliser davantage les ressources à allouer à la lutte contre le VIH/SIDA et mener une plaidoirie efficace pour l’accès facile au traitement.

- Plaider pour l’amélioration de la gestion administrative et financière du fonds mondial.

- Appuyer le gouvernement dans son effort d’accélération de l’accès à la PTME pour toute la population.

- Adopter une approche de prise en charge globale.

-  Mettre en place des systèmes qui protègent les femmes et les OEVs.

- Adopter les stratégies d’implication effective des hommes dans le protocole PTME.

- Mobiliser les ressources au niveau national pour palier à la dépendance aux financements internationaux.

- Améliorer la manière de fonctionner du P.R (Secrétaire Exécutif Permanent du CNLS) pour que les bénéficiaires puissent avoir accès aux services.

-  Ne ménager aucun effort pour améliorer les prestations en vue du bien être des bénéficiaires.

-   Travailler davantage en synergie pour avoir une réponse efficace au VIH/SIDA.

              Vive la santé sans VIH/SIDA. Vive les générations sans VIH. Je vous remercie !


La Société Civile était vivement représentée


















Les différentes danses se sont exhibées devant la tribune d'honneur


















Ce sont les tambourinaires qui ont ouvert et clôturé les cérémonies


















A la fin des cérémonies, un point de presse a été organisé



















            LES ANIMATEURS COMMUNAUTAIRES DE SYM SONT BENEVOLES


    Parmi les animateurs communautaires bénévoles de la commune KABEZI, nous en avons une qui répond au nom de Marianne UWAYISAVYE. Elle habite tout près de la succursale Kabezi. Sa maison a été saccagée par les voleurs de nuit en date du 5 juin 2013. Nous avons été la voir à son domicile pour constater les faits, c’était le jour de la sensibilisation et du dépistage de masse. Lors de ce vol, elle a perdu tous ses biens entre autres les ustensiles de cuisine et les habits avec un peu d’argent qu’elle avait. Elle a demandé au service YEZU MWIZA une assistance matérielle qui a été concrétisée le mois suivant. Le ServiceYezu Mwiza lui a acheté deux pagnes,  trois casseroles, 6 assiettes et deux bidons de 20 litres en guise d’encouragement. Marianne et toute sa famille ont été très contentes par cet esprit d’amour et de solidarité.
 




















































            Sensibilisation des  couples sur la santé de la reproduction 

     La santé de la reproduction a une dimension implicite du droit des hommes et des femmes à être informés et d'avoir accès à des méthodes sûres, efficaces, abordables et acceptables d'accès aux moyens de maîtrise de la fécondité de leur choix. C’est aussi un droit d'accès aux services de soins et de santé appropriés qui permettent aux femmes de conduire au mieux leur maternité (grossesse, accouchement, allaitement…) et donnent aux couples toutes les chances d'avoir des  enfants en bonne santé.

      En vue de  promouvoir la santé de la reproduction responsable dans la population de Bujumbura rural résidant sur les côtes du lac Tanganyika, le SYM a organisé  au mois de Juin 2013  des descentes dans les communes de Bugarama, Muhuta, Kabezi et Mutimbuzi, respectivement dans les zones de Magara, Gitaza, Gakungwe et Gatumba pour intensifier les séances de sensibilisation sur la santé de la reproduction chez les couples. Dans l’ensemble, 123 couples ont été touchés par ces sensibilisations combien convoitées. 

      Les sous thèmes développés au cours de ces séances  de sensibilisation se sont appuyés notamment sur l'éducation sexuelle, sur le contrôle des naissances, sur la planification familiale et le rôle éminent des femmes dans cette entreprise. La question des participants qui est revenue dans plusieurs coins de sensibilisation était celle de savoir quelle était la meilleure des méthodes indiquées pour la planification familiale.  

En pleine séance de sensibilisation à Magara, commune Bugarama


































Les couples se retrouvent pendant les pauses pour  continuer les débats à deux





































1 commentaire:

  1. JE SUIS TRISHA NELSON J'ai contracté le VIH en 2O16, mon médecin m'a dit qu'il n'y avait pas de remède possible contre le VIH. J'ai commencé à prendre mes ARV, mon CD4 était de 77 et la charge virale de 112450. J'ai vu un site Web du Dr James, j'ai aussi vu beaucoup de témoignages à son sujet sur la façon dont il utilise la phytothérapie pour guérir le VIH. Je l'ai contacté et lui ai parlé de mes problèmes, il m'a envoyé le médicament à base de plantes et je l'ai pris pendant 3 semaines, après cela je suis allé pour un contrôle et j'ai été guéri du VIH. sa phytothérapie n'a AUCUN EFFET SECONDAIRE ET FACILE À BOIRE, il n'y a pas de régime spécial en prenant la phytothérapie Dr James. Il guérit également le DIABÈTE, le CANCER HPV, la SLA, l'HÉPATITE B, LES MALADIES REINALES, LES HERPES et bien plus encore. Vous pouvez le joindre sur ... drjamesherbalmix@gmail.com.

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